Fiesta (?), relations sociales, etc.
Aujourd'hui, c'était la fête d'anniversaire de CF2. En fait, elle est née en novembre, mais cette année, on avait décidé de faire la fête quand il ferait beau et qu'elle pourrait profiter du jardin et de la piscine avec ses invité(e)s.
Extrait d'un mail envoyé cette semaine à une amie proche qui-se-reconnaitra au sujet de CF2 :
C'était sur le plan relationnel avec les autres enfants que ça n'allait surtout pas cette année.
Donc là, je fais un test : je lui avais dit qu'on fêterait son anniversaire quand il ferait beau. Samedi prochain, donc, on fera sa fête d'anniversaire. On a préparé des invitations et on verra bien combien d'enfants viennent ou répondent. Je lui ai donné 10 invitations pour qu'elle les donne à qui elle voulait. Je ne sais donc pas exactement qui elle a invité, mais j'ai été agréablement surprise de voir qu'elle avait invité J. et que J. avait confirmé sa venue. [finalement J., punie par ses parents sera privée de fête d'anniversaire de CF2]
Du coup, je me demande quand même si sa situation social/relationnel à l'école est si terrible que ça et justifierait une desco.
Parce que je ne sais pas si ce n'est pas aussi un truc que je ressens (ma fille n'est pas intégrée, elle n'est pas aimée) parce qu'elle me le dit comme ça, ou parce que j'ai un vécu douloureux de ce côté, ou bien si c'est la réalité (ses instits m'avaient dit qu'elle avait des copines et qu'elles ne comprenaient pas quand elle se disait seule et mal-aimée)
Bilan : 10 enfants invités et une seule est venue.
Mais cela mis à part, ma fille est bien intégrée dans sa classe où elle a plein d'amies...
Heureusement qu'elle a bien pris la chose et n'en a pas fait une histoire du genre "personne-ne-m'aime" mais plutôt "ils-avaient-tous-autre-chose-à-faire". Et puis, ça a fait plus de gateau pour chacun.
C'est sûr...
Voilà qui alimente encore plus ma reflexion au sujet de la descolarisation éventuelle de CF2... qui pourtant m'a affirmé ne pas vouloir arrêter l'école parce que ça se passait mieux avec les autres enfants.
Je n'ose imaginer ce que c'était quand ça ne se passait "pas mieux"...